Il ne faut pas parler dans l’ascenseur, Martin Michaud, Les Éditions Coup d’oeil (2013), 391 pages
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Après vingt-quatre heures dans le coma, une jeune femme se lance à la recherche d’un homme qui, contre toute attente, ne semble pas exister. Alors que la police de Montréal se concentre sur une étonnante affaire de meurtres dont les victimes sont retrouvées dans des conditions similaires et déroutantes, un chasseur sans merci a choisi d’appliquer sa propre justice, celle où chacun doit payer chèrement pour ses fautes.
Une recherche de la vérité qui révélera trois vies aux destins inattendus et entremêlés. Suivez Victor Lessard, un enquêteur de la police de Montréal tourmenté et rebelle, dans une affaire aux rebondissements troublants.
Fin de ronde, Stephen King, Albin Michel (2017), 424 pages
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Dans la chambre 217 de l’hôpital Kiner Memorial, Brady Hartsfield, alias Mr Mercedes, gît dans un état végétatif depuis sept ans, soumis aux expérimentations du docteur Babineau. Mais derrière son rictus douloureux et son regard fixe, Brady est ben vivant. Et capable de commettre un nouveau carnage sans même quitter son lit. Sa première pensée est pour Bill Hodges, son plus vieil ennemi…
Après Mr Mercedes et Carnets noirs, les fans de Stephen King trouveront dans ce mélange de suspense et d’horreur la conclusion parfaite à la trilogie de l’inspecteur Hodges.
Jeux de miroirs, E. O. Chirovici, Les Escales (2017), 315 pages
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Un agent littéraire, Peter Katz, reçoit un manuscrit intitulé Jeux de miroirs qui l’intrigue immédiatement. En effet, l’un des personnages n’est autre que le professeur Wieder, ponte de la psychologie cognitive, brutalement assassiné à la fin des années quatre-vingt et dont le meurtre ne fut jamais élucidé. Se pourrait-il que ce roman contienne des révélations sur cette affaire qui avait tenu en haleine les États-Unis?
Persuadé d’avoir entre les mains un futur best-seller qui dévoilera enfin la clef de l’intrigue, l’agent tente d’en savoir plus. Mais l’auteur du manuscrit est décédé et le texte inachevé. Qu’à cela ne tienne, Katz embauche un journaliste d’investigation pour écrire la suite du livre.
Mais, de souvenirs en faux-semblants, celui-ci va se retrouver pris au piège d’un maelström de fausses pistes. Et si la vérité n’était qu’une histoire parmi d’autres?
Crimes au musée, Collectif, Druide (2017), 341 pages
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Peut-on imaginer des crimes dans ces lieux de culture, d’histoire, d’art et de conservation que sont les musées? Absolument! En réunissant des auteures de part et d’autre de l’Atlantique, après Crimes à la librairie et Crimes à la bibliothèque, Richard Migneault (directeur de publication) offre un tour d’horizon du polar au féminin, à la fois délicieux et déstabilisant.
Les dix-huit écrivaines réunies ici relèvent haut la main le défi de s’approprier ces lieux où le calme règne et en font, chacune à sa façon, la scène d’un crime. Elles dénaturent ce monde de tous les imaginaires en transformant les oeuvres qui s’y trouvent en témoins de la violence, de l’horrible et du machiavélique. Crimes d’honneur, meurtres passionnels, vengeance, copie meurtrière d’une oeuvre d’art… Qu’on soit simples visiteurs, touristes ou gangsters aux mains rougis par le sang, tous les coups sont permis!
Toutes les vagues de l’océan, Víctor del Árbol, Babel (2015), 681 pages
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Gonzalo Gil reçoit un message qui le bouleverse: sa sœur, de qui il est sans nouvelles depuis des années, a mis fin à ses jours, peu après avoir réglé ses comptes avec la mafia russe. Cette mort va mettre en lumière les secrets de l’histoire familiale et de la figure mythique du père, nimbée de non-dits et de silences.
Cet homme idéaliste a connu la révolution communiste en URSS, la guerre civile espagnole, la Seconde Guerre mondiale. Et c’Est toujours du côté de la résistance et de l’abnégation qu’il a traversé le siècle dernier. Sur fond de pression immobilière et de mafia, l’enquête qui s’ouvre aujourd’hui à Barcelone rebat les cartes du passé. La chance tant attendue, pour Gonzalo, de connaître l’homme pour pouvoir enfin aimer le père.
Toutes les vagues de l’océan déferlent dans cette admirable fresque d’un XXe siècle dantesque porteur de toutes les utopies et de toutes les abjections humaines.